Inhérent aux descendants d’Arthur et de sa clique. Ce qu’on appelle plus communément « les gentils ». Vous les connaissez non ? Ce sont eux qui adulent la vie et les gens, les petites fleurs roses et les bonbons à la menthe… ?! Non ? Bon, clichés mis à part, qui dit Bien n’implique pas forcément que tous aient un amour inconditionnel des bisounours. Chacun a son histoire, ses imperfections, et commet ses propres erreurs. Même si leur nature profonde est d’être des « gentils », cela ne veut pas dire qu’ils subissent un apprentissage de la vie différent des autres. Et on a tous nos périodes creuses.

Autrement dit, tous les descendants de l’entourage de Mordred. Ce sont les entre-deux, les hésitants, qui tâtonnent encore pour connaître leur place. Ou encore ceux qui s’estiment hors des conflits. Ni bons, ni mauvais selon le sens commun… mais peut-être cette indécision serait-elle synonyme au contraire de danger et d’inconstance ? (Référez-vous en à l’Intrigue officielle pour une meilleur appréhension du contexte.)

Relatif aux descendants de Lancelot. Vous savez, les moches, les pas beaux, les vilains ? Ceux qu’on repère aussi facilement qu’un œil unique au milieu du front dans tous les films catastrophe ? Et bien, vous croyez peut-être que c’est aussi simple dans notre cas. Mais c’est se fourrer l’orteil dans la bouche jusqu’au talon d’Achille ! Car nos méchants, en plus d’être beaux (graou) et intelligents (ahein), sont comme vous et moi… alors, qui sont-ils ?