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Arthur Enhellwater

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Arthur Enhellwater
Arthur Enhellwater

Date d'inscription : 21/02/2011
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Emploi/Etudes : Infirmier à Poudlard
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Rapeltout
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MessageSujet: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeLun 21 Fév - 21:36

Arthur Enhellwater
▬ i am who i am ▬

▬ avant-propos ▬
Je m'appelle Arthur Enhellwater , je suis un homme . J'ai 23 ans , je suis né le 26 août 1987 à Vitoria-Gasteiz . Je suis Espagnol. Je suis dans la norme financière, et côté cœur, je suis célibataire et hétérosexuel. Autrement, je mesure 1m84 , j'ai les yeux bleus et les cheveux châtains. Dans la vie, je suis infirmier à Poudlard . J'ai un signe distinctif, c'est mon sourire "Max White" accompagnant une voix grave et envoûtante. . Je fais partie des Mystiques et des Mordrediens .

▬ a little more ▬
Un secret : La raison de son renvoi de Ste Mangouste.
Une peur : L’altitude.
Un remord : De n'avoir pu s’occuper d’avantage de Juan.
Un projet : Creuser son trou à Poudlard.

Who you are
▬ this is your story ▬

Dans la vie il y a des cactus. Et des snargaluff.
Pour ce qui est de mon enfance, il n’y a pas grand-chose à signaler de plus que pour la plupart des gens. Pas de geste inconsidéré vis-à-vis de mes parents, ni de faits héroïques inconditionnels particuliers... à part peut-être, la fois où je suis allez récupérer le chat du voisin, sois disant "coincé" dans un chêne noueux de cent ans d’âge. Si j’eus beaucoup de difficultés à redescendre les vingt mètres que j’avais parcouru pour arriver jusqu’à lui -du haut de mon mètre treize- il n’en fut "bizarrement" pas de même pour le félin. Ce fut aussi la première fois que j’entrais en contact avec un hôpital, avec deux broches dans le bras à la clef. A cette époque, nous ignorions tous l’existence du monde sorcier. Enfin, en théorie. C’est ce à quoi on croyait dur comme fer, avec Juan. "La magie, ça n’existe pas !". C’était notre cri de guerre lorsque l’on assistait à quelque chose d’étrange à la maison, assez souvent en somme. Et nos parents souriaient, un sourire faussement joyeux que nous ne comprenions pas alors, qui nous passait par-dessus les mirettes. Et nous rions. Je ne comprenais pas non plus pourquoi des larmes de tristesse coulaient aux coins des yeux de mon grand-père. Et jamais je n’aurais pu en imaginer la raison de toute manière. Car ce que j’appris plus tard, le jour de mes onze ans, une lettre mystérieuse entre les mains, dépassait largement mes capacités d’entendement. La pluie tombait drue à l’extérieur, un peu comme dans ces mauvais films où on s’attend à tout moment à ce qu’une créature surnaturelle apparaisse et dévore les protagonistes. Le noir d’abord, la blonde ensuite, et seul survit un couple afin de repeupler joyeusement -et aux yeux de tout spectateurs- leur misérable planète de consanguins. Aujourd’hui cette allusion me fait sourire, mais à l’époque il en était autrement : mon grand père était noir, ma grand mètre était blonde, et mon frère était parti avec mes parents au supermarché. Sans compter que la terrible bête s’était manifestée sous la forme d’une étrange chouette noire et blanche à la manière des vaches à lait, dont les gros yeux semblaient me transpercer de part en part. Tremblant de tous mes membres, les larmes aux yeux, j’écoutais la voix rocailleuse de mon abuelo. Si j’accentue d’ailleurs le caractère dramatique de cette simple scène, c’est pour mieux vous en faire ressentir la détresse. Je découvris ce jour-là que mes parents étaient en réalité des exilés du monde des sorciers. Le genre d’exilés qui avaient commis une faute grave, et qui vivaient aujourd’hui reclus dans un autre pays que leur Grande Bretagne chérie. Pas tout à fait dans l’illégalité, apparemment, puisque leur choix avait été appuyé par un jury au complet leur évitant un sort bien pire que la mort : une prison terrible nommée Askaban. Le nom raisonnait durement à mes oreilles. Le plus étrangement du monde, je ne pris pas la fuite. Je souriais même dans ma naïveté. Et je répondis à ma grand-mère avec une sagesse qui n’aurait pas du se manifester chez un enfant de mon âge. Je lui dis simplement qu’ils avaient du faire le bon choix alors, parce que sinon, ni moi, ni Juan n’aurions pu être ici à vivre tranquillement, et que tout valait mieux qu’Askaban. Si je ne connaissais absolument rien de cet endroit je savais de manière instinctive que ce que je disais était juste. Seulement voilà, j’avais reçu une lettre de Poudlard. Une feuille de parchemin rêche, sur laquelle des mots avaient été couchés avec adresse. Et je souriais toujours. Mes parents étaient des sorciers, et pas mauvais de surcroît, qui avaient eux-mêmes pris la décision de vivre surveillés comme le commun des mortels. Ou plutôt, ce que je croyais être alors le commun des mortels.
Au retour de mes parents, on me dégotta une vieille valise poussiéreuse qui avait déjà du connaître Poudlard plusieurs générations auparavant. Mon abuelo expliqua à mon petit frère que je partais en voyage pour une vie meilleur, et que je n’avais de toute façon pas le choix. Je lui chuchotais discrètement quant à moi que je lui écrirai, que je ne l’abandonnais pas, qu’il me rejoindrait un jour ou l’autre... et que je reviendrais de toute façon pour les vacances ! Mes parents trop émus pour parler rayonnaient littéralement. Je ne compris que plus tard l’importance de ce simple bout de papier porté par une chouette, moyen de communication sorcier: cela signifiait que la sentence dont ils avaient écopé pour leur faute passée ne serait pas payée par leurs enfants. Et ça avait tout l’air d’une bonne nouvelle.
Le trajet fut long, mais je m’occupais comme je le pouvais, avec les quelques livres d’anatomie que j’avais récupérés. Un peu jeune, me direz-vous ? Mais depuis que j’étais allez à l’hôpital pour la première fois, ce monde m’avait complètement happé. Depuis mes six ans je feuilletais les ouvrages de mon père, alors même que je ne pouvais ni lire l'anglais, ni en comprendre la moindre bribe. C’est dans le train pour Paris que je compris que je ne verrais plus jamais de la même manière mes camarades de classe et mes professeurs, et cela me fit de la peine. Mais je me répétais pour me distraire de cette pensée que, si l’école de magie était telle qu’on me l’avait décrite, je ne m’ennuierai plus jamais. A Poudlard, émerveillé par tout ce que je voyais, le Choixpeau m’envoya à Poufsouffle pour mon altruisme et mon intérêt pour les gens. Mon parcourt fut brillant déjà à l’époque, et même après, alors que j’étudiais la médecine à l’école des Médicomages. Cette seconde partie de mes études ne dura que peu de temps, car j’étais, et je suis encore sans fausse modestie, un "génie" dans ce domaine. J’ingurgitais tout ce qu’on me donnait, mon cerveau retravaillant les détails importants pendant mon sommeil. Je me rappelais de tout: du nom des plus petits os, que je connaissais de toute manière depuis mon enfance, aux potions complexes pour soigner la schizophrénie chronique. On m’enviait, on me jalousait même, parfois. Et ça me gênait. Ou du moins lorsque je n’étais pas plongé dans mes études, ou quoique ce soit qui y aurait été lié. Plus qu’une passion, la médecine était une véritable drogue pour moi : je n’eus jamais de réelle vie sociale. Dès que je quittais les labos, je devenais gour, maladroit, gauche... tout un tas d’adjectifs tout aussi peu reluisants. J’eus quelques petits amies, tout de même, mon "charme (d’après elles) attirant les filles aussi aisément que les choses sucrées attirent les fourmis". Mais elles ne s’intéressaient pas vraiment à moi. J’étais plus une sorte de trophée de chasse que l’on exhibe en gloussant pour ces filles là.
Mes études terminées, j’entrais pour mon plus grand bonheur comme apprenti à Ste Mangouste. Bizarrement, cet univers me convenait beaucoup plus. Les patients que je traitais, supervisé par Mr Eden, médicomage reconnu, aimaient ma compagnie, et peu d’entre eux s’éteignirent entre mes mains. Pour vous dire à quel point j'aimais chacun d'eux, lorsque je perdis mon premier patient à cause d’un virus inconnu qui le tua lentement je fus malade pendant plusieurs semaines. Seul mon maître d’apprentissage parvint à me sortir de ma léthargie, compréhensif, en me mettant le doigt sur le nombre de malades qu’il restait encore à soigner. Et tout recommença. J’avais mon train-train quotidien, mes habitudes, de la reconnaissance, et beaucoup d’affection de la part de tous. C’était mon milieu, ma vie, mon monde. Et j’y étais heureux...

C'était un 10 mars. Je m'en souviens encore très nettement. L’une de ces journées interminables et épuisantes venaient de s’achever. Si je fus trop fatigué pour arriver à mettre mes pensées en ordre, je compris tout de même rapidement que j’avais commis, aveuglément, une erreur fatale. Quelque chose de compréhensible pour un spectateur moyen. Mais pour mes collègues c’était quelque chose d’affreux et d’impardonnable. Tellement impardonnable qu’on ne me laissa même pas l’occasion de me justifier, de présenter mes excuses, ou même de réagir, tout simplement. Mr Eden me convoqua dans son bureau sur le champ. Et comme dans un cauchemar éveillé je m’y rendis, traînant les pieds, le regard rivé sur les chaussures cirées de l’infirmier qui ouvrait la voie avec un air grave. Jamais je n’aurais pensé en arriver là un jour. Jamais je n’aurais même pu ne serait-ce qu’imaginer être appelé dans le bureau de mon maître d’apprentissage. A aucun moment. L’homme devant moi s’immobilisa enfin. Et lorsque je levais le regard je croisais le sien, réprobateur, outré, mêlé à un soupçon de compassion et de pitié. Étrange mélange que voilà. Même maintenant cette expression reste gravée dans mon esprit. Sans attendre plus, je frappais avant de pousser la lourde porte de chêne. Plutôt amusant d’ailleurs: j’avais connu l’hôpital grâce à un chêne en pleine santé, et il semblait que cet arbre sous sa forme morte en marquerait aussi la fin. Et ça ne manqua pas...

"Arthur ! Prend place je t’en pris."

Je m’exécutais, nullement dupe quant à la fausseté de ce ton.

"Monsieur, je..."

Mr Eden m’interrompit, plutôt sèchement d’ailleurs:

"Pas de ça, gamin."

Il avait cessé de m’appeler de la sorte dès la guérison de mon premier malade. Ça s’annonçait vraiment mal pour mon matricule.

"Ecoute, je pense que tu as besoin de vacances Arthur. Tu es jeune, tu as toute la vie devant toi, et beaucoup d’autres choses à découvrir hors de ce milieu...

- Monsieur, il fa…

- Arrête ça maintenant !"


Le ton était dur. Le visage fermé. *Hypocrite*. Voilà la pensée qui me traversa l’esprit alors que je serrais les dents, et le poing. Je ne pourrais même pas me défendre: mon sort était déjà couru d’avance. Et j’étais révolté par cette immonde trahison: mon mentor ! La personne en qui j’avais le plus confiance ! Voilà qu’il montrait enfin son vrai visage au bout de trois ans ! Trois longues années de mensonges ?!

"Comprenons-nous bien, Arthur. Si ça ne tenait qu’à moi tu serais déjà dehors depuis longtemps. Si ça ne tenait qu’à moi, on t’aurait immédiatement retiré tes diplômes et interdit toute pratique de la médecine. Tu n’as toujours été qu’un sale fils de traître pour ma part. « Devons-nous le renvoyer avec ses exilés de parents, ou attendre de voir ce qu’il pourrait donner ? »... Et pas la peine de me regarder comme ça ! Depuis tout ce temps je ne faisais que rapporter en bon toutou à la commission des médicomages."

Je ne cesse même maintenant de me demander si ces paroles avaient été prononcées par simple jalousie. Est-ce qu'il les pensait vraiment ? Ou souhaitait-il simplement assurer ses arrières en ne prenant pas ma défense ? Dans tous les cas, il me décevait. Et en même temps toutes ces révélations prononcées d’une traite m’avaient suffisamment sonné pour que je ne puisse répliquer. Alors je tentais de rester stoïque. De ne pas lui donner la satisfaction de me voir perdre mes moyens. J’avais bien une bonne centaine d’insultes en espagnol qui me dévoraient, mais je n’ouvris même pas la bouche. Et lui continuait à jacasser, toujours dans sa lancée...

"A mon grand soulagement, tu es tout de même renvoyé de Ste Mangouste. Tu vas faire tes valises en rentrant chez toi, dès ce soir. Parce que demain tu te rends à Poudlard. Un sourire mauvais s’étala sur ses lèvres, les étirant en une mince fente: "Le précédent infirmier est aujourd’hui hospitalisé dans notre service psychiatrique pour dépression… je suis persuadé que tu t’amuseras beaucoup dans leur médiocre infirmerie. Peut-être te laisseront-ils une petite place sur les bancs du parc pour dormir ?

J’étais totalement abasourdi mais tâchais de ne rien en montrer. J’étais muté. Reléguer dans un endroit où je ne pourrais jamais m’épanouir médicalement parlant. Mais je n’avais pas le choix : c’était ça, où rentrer chez moi la queue basse. Mr Eden me congédiât d’un geste de la main, en me souhaitant de "passer des moments passionnants" et en soulignant la bassesse de ce travail. Avant de partir je récupérais la paperasse qui concernait ce nouveau travail, et l’étudiais attentivement durant le trajet jusqu’à chez moi. Même si je savais que mon rêve d’avoir un jour mon propre hôpital avait été étouffé dans l’œuf, elle suscita mon intérêt et réveilla mes sens engourdis. Au moins, je serais seul maître des locaux…
Plus tard, en arrivant en vue de l’école de magie, je me sentis revenir au bercail. Mais je ne pus m’empêcher de me répéter dans un murmure: "Bon sang Arthur, dans quelle galère t’es-tu fourré ?"



« Poudlard, infirmerie, 2010, rapport n°8

Emma a refait une crise. J’étais au bal entrain de profiter de la compagnie d’une vieille connaissance quand sa magie s’est déchaînée... était-ce volontaire ? Sous le coup de ses émotions ? Je ne sais toujours pas quoi faire pour son problème initial, même si j’ai quelques idées en tête. Et je n’ai pas lâché le mot "initial" au hasard. Lorsque je l’ai récupérée, on aurait dit qu’un ouragan s’était déclenché tout autour de sa personne, mais aussi en elle. Elle gisait parmi les bris de verres, couverte de blessures. Si j’ai rapidement paré au plus urgent, Emma a tout de même du rester plusieurs jours à l’infirmerie pour se remettre totalement. Je ne sais pas ce que s’est passé, elle ne m’en a toujours pas parlé. Ce dont je suis certain cependant, c'est que c'était différent. La confiance est une chose fragile, et je commence à me demander si elle en éprouve ne serait-ce qu’une once à mon égard. J’y mets du mien, pourtant... ou au moins est-ce que j’essaie. Mais à certain moment, on dirait qu’elle dresse un véritable mur lisse et hermétique entre nous. Je ne pourrais prendre la pleine mesure du problème que lorsqu’elle me permettra de l’escalader. Ce n’est pas tant une histoire d’informations que d’ouverture. Que m’importe ce qu’elle me raconte si elle le fait d’un ton amorphe ? Elle ne me laisse entrevoir que les faits, rarement plus: ses sentiments ? Ce qu’elle en pense ?...

Poudlard est toujours cette bonne vieille école, mais je commence à me poser des questions. De plus en plus d’élèves passent par l’infirmerie pour des soucis qui se sont déjà résorbés extérieurement: maux de têtes, sueurs froides, souffle court, impression d’entendre des voix...
Je ne sais pas ce qui se passe, mais j’ai comme l’impression que quelque chose se met lentement en place autour de nous. Ce n’est peut-être qu’un délire paranoïaque, mais les coïncidences sont de plus en plus nombreuses... trop nombreuses même. Espérons qu'il n'arrive rien de grave dans les mois à venir.

Arthur Enellwater, infirmier toujours pas résigné. »
What you do
▬ i’ve got the power ▬
De la catégorie des Mystiques, Arthur va tout d’abord se découvrir un don d'empathie. Cette qualité qu'il possédait déjà à la base à un moindre degré, comme beaucoup, va s'en trouver démultipliée et difficile à maîtriser. Sentir les émotions des gens est une chose, les supporter en est une autre. Sans compter qu'en venir à mieux comprendre son entourage qu'il ne le fait déjà lui-même a quelque chose de tout particulièrement effrayant. Autrement dit, les expériences d'Arthur chez les fous risquent de se révéler bien plus qu'utiles: vitales.
Outre les bases de l'empathie, son métier d'infirmier sera bouleversé lorsque notre homme découvrira qu'il peut sentir et définir le pouvoir des autres... et par là même amener à les utiliser pour son propre profit. Plus simplement, il s'agit de détecter les capacités et de persuader les gens de l'aider en usant de tous ses talents. Il faut dire qu'il est plus aisé d'orienter la pensée quand on sait quels mots employer, et avec quels effets. Bien heureusement, le "profit" de notre infirmier et à 95% celui de personnes en difficultés. Reste à voir pour les 5% restants...

S’il s’agit du tout premier pouvoir qu’il apprendra à connaître et maîtriser, Arthur va aussi développer petit à petit un tas d’autres capacités du fait de ses ascendances. Ainsi la « simple empathie » de ses débuts l’amènera t-elle dans un premier temps à détecter les mensonges... ce qui semble assez logique puisque notre homme est enclin à « ressentir » l’état psychique de son entourage. Seule différence primordiale: les excellents menteurs, ceux qui se convainquent eux-mêmes de la véracité de leurs propos, ne seront plus à l’abri de rien. Jusqu’à un certain moment, seul le mensonge par omission lui échappera. Car ce discernement reste une capacité assez limitée, dans la mesure où un interlocuteur peut y déroger aisément avec un peu de jugeote. Toutefois, en mêlant ce don à son empathie affûtée, plus rien n'échappera à notre homme... à condition qu’il surmonte les obstacles.

D’autant plus qu’avec le temps, le simple ressenti va se traduire par la vague impression de capter des mots, des bribes de paroles, des exclamations issues de nulle part. Ou du moins, ayant l’air de jaillir du vide... Il faudra une nouvelle fois à Arthur tout son self-contrôle pour comprendre que ces voix qui se mélangent sous son crâne -d’abord inaudibles et indistincte, puis véritable capharnaüm- sont des pensées. Des pensées qui le pousseront probablement aux limites de la folie, jusqu’à ce qu’il finisse par apprendre à se concentrer sur une seule à la fois, et à bloquer le reste de la friture selon son bon vouloir. Les livres, l’écriture, et autres activités nécessitant toute son attention lui permettront probablement d’atteindre ce but. Avec beaucoup de patience. Et d’entraînement. Sans compter que maîtriser un pouvoir ne veut pas dire qu’il ne déraillera pas à un moment donné...
Lire, influencer par la parole, puis s’exprimer directement dans les pensées d’autrui. Toutes ces étapes ne seront pas acquises en un jour. Arthur devra mettre en œuvre son ingéniosité et son intelligence pour contourner les difficultés de chacune d’entre elle, empilant ses pouvoirs comme une pyramide instable, établissant des ponts pour les compléter et boucher les trous de son manque d'expérience.
Au final, l'infirmier se transformera sans doute en un puissant manipulateur. Heureusement qu’il a bon fond, d’ailleurs. Car même en écartant une vision manichéenne et naïve des choses, il faut avouer que ces capacités, mises entre les mains de certains individus, pourraient avoir des conséquences désastreuses.

Arthur croira alors être arrivé au bout de ses peines, et vivra enfin dans un semblant de normalité quotidienne. Jusqu’à s’apercevoir que ses gènes peuvent encore lui jouer des tours. Lorsqu’il se retrouvera coincé dans le rêve d’un élève, par exemple. Ou encore quand la porte se refermera toute seule derrière lui... et que les objets voleront jusqu’à ses doigts sous son regard étonné et inquiet.
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Dernière édition par Arthur Enhellwater le Mar 19 Juil - 0:24, édité 20 fois
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Maë
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeMar 22 Fév - 16:47

Bon, ben tu connais le chemin, je crois.

Mais juste pour la forme "Bienvenue !" ^^
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Arthur Enhellwater
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeMar 22 Fév - 16:56

Efficacité !
Je suis au summum de ma forme ><"
Merci !
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Esmée Jones
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeMar 22 Fév - 20:52

Ouh punaise, l'avatar de la fiche de Sexy Nurse Arthur Enhellwater  498870 Re-bienvenue Arthur Enhellwater  7533


Dernière édition par Esmée Jones le Mar 22 Fév - 20:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeMar 22 Fév - 20:53

Génial ton gif ! Very Happy

Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitimeMar 22 Fév - 21:29

Il donne envie n'est-ce pas ? (Graou ^w^)
Merci !
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MessageSujet: Re: Arthur Enhellwater Arthur Enhellwater  I_icon_minitime

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