Je m'appelle William Green, je suis un homme. J'ai 17 ans, je suis né le 26 octobre 1993 à Londres. Je suis Anglais. Je suis pauvre, et côté cœur, je suis en couple. Je suis hétérosexuel. Autrement, je mesure 1m84, j'ai les yeux bleus et les cheveux bruns. Dans la vie, je suis à Gryffondor, en 6e année. J'ai un signe distinctif, c'est une crinière reconnaissable entre mille et un blouson en cuir élimé. Je fais partie des Elementalistes et des Arthuriens, je suis incarné(e) par Robert Pattinson, et je suis un poste vacant.
William est le deuxième d'une petite famille de trois enfants ; de son grand frère Meryl, Will ne connaît pas grand chose : ils n'ont jamais été particulièrement proche et celui-ci est parti très rapidement du cercle familial, du reste bien bancal. En revanche Will a une petite soeur qui est à peu près le seul être de sa famille qu'il aime sincèrement. Il ne faut pas croire qu'il est un enfant indigne et ingrat. Mais son enfance n'a pas été des plus heureuse, principalement à cause de son père amoureux de l'alcool et totalement absent de leurs vies, si ce n'est à intervalles très irréguliers et très espacés. Ses visites signifiaient presque toujours disputes et cris, voire pire la plupart du temps. Il finissait souvent par battre sa femme et son fils ; seule Abi, que William cachait dans un placard à chacune des visites paternelle, échappait aux coups. Et puis leur père disparaissait à nouveau. Mais au lieu d'en ressentir un manque, c'était souvent un soulagement pour le reste de la famille. La mère de William, chétive et très jeune lorsqu'elle était tombée enceinte de Meryl, son premier enfant, se tuait à la tâche dans son tout petit boulot de serveuse, dans un bar sorcier mal famé. Elle s'était entichée du père de William et avait eu pendant un temps des rêves d'épouse modèle aux côtés de son mari et de leurs enfants, dans une belle maison propre. Elle avait vite déchanté et s'était retrouvée seule avec trois enfants à élever alors qu'elle-même n'était pas totalement mature, enfants pour qui elle ressentait par bribes tantôt l'amour d'une mère, tantôt de la rancœur injuste, comme si elle leur reprochait sa vie de jeune fille perdue. William grandit donc dans ce climat très particulier. Il devint très rapidement un enfant difficile, revêche et bagarreur. Il était souvent dehors, livré à lui-même, jouant avec les enfants qui traînaient là eux aussi. Il faisait partie d'une "bande" avec qui il a fait les pires bêtises, les 400 coups, mais qui constituait à peu près une famille pour lui, si on y regardait pas de trop près. C'est aussi avec cette bande que plus tard, lors de vacances scolaires, William avait essayé quelques substances illicites, dont il avait déjà eu du mal à se passer à la rentrée. Son seul "rayon de soleil" dans son enfance, c'était sa petite-sœur, pour qui il aurait tout fait et tout donné, littéralement, parce qu'il la considérait comme la seule petite chose pure qui existait dans son entourage et dans son monde. C'est grâce à elle qu'il ne devint pas tout à fait mauvais et qu'il su rester du côté du droit chemin, même s'il fit d'énormes bêtises ; il développa en tout cas un bon fond, chaleureux et protecteur. Être envoyé à Poudlard le perturba énormément, du moins la première année puisqu'il fut alors obligé de quitter sa sœur et de la laisser dans cette maison de malheur toute seule, sans personne pour la protéger. Il en a été malade d'imaginer ce qui pouvait bien se passer, terrifié à l'idée que leur père fasse du mal à sa sœur, enragé de ne rien pouvoir faire. Et comme en réaction à tout ça, il ne fit justement rien à l'école non plus, à part les 400 coups avec des élèves peu fréquentables, et redoubla. Heureusement pour lui l'année suivante, il se lia d'amitié avec un élève de sa classe qui lui permit de remonter un peu la pente, d'autant plus qu'il avait constaté pendant l'été que sa sœur s'en sortait sans lui et qu'elle arriverait elle aussi à Poudlard l'année suivante.
| Souvenir d'enfance
Spoiler:
C'était un jour d'hiver, William s'en souvenait comme si c'était hier. C'est à partir de ce moment-là qu'il s'était rendu compte de la distance qui somnolait dans son cœur entre lui et ses parents. Bien sûr, il était lié avec eux, lié comme des gens peuvent l'être en passant plusieurs années ensembles, en vivant ensembles, en traversant des épreuves - bonnes ou mauvaises, mais surtout mauvaises dans son cas - ensembles. Et puis malgré tout, c'était ses parents. William ne pouvait pas les renier aussi sec, ni faire mine de les traiter comme des étrangers. Simplement, ce jour-là, il se rendit réellement compte qu'ils avaient beau porter l'étiquette de "parents" - qu'ils n'avaient jamais vraiment été -, qu'ils avaient beau l'avoir conçu, ce n'était pas "sa famille". Et il savait qu'il ne les traiterait pas autrement que n'importe quel étranger si jamais ils refaisaient subir à Abigail ce qu'ils avaient osé faire.
Leur père, éternel absent avait encore une fois trop bu ; dans ces moments-là, il perdait alors l'once de conscience paternelle qu'il avait malgré tout et oubliait totalement qu'il valait mieux pour tout le monde qu'il se tienne à l'écart de sa femme et de ses enfants. Dans ces moments-là, il rentrait chez lui, chez eux. Dans ces moments-là, il insultait tout ceux qui passaient sous ses yeux et devenait parfois violent. C'était un soir où il avait usé de l'alcool plus que de coutume, parce qu'au lieu de sentir le whisky à 10 mètres, il devait sentir au moins à un kilomètre à la ronde. William avait réussi a anticiper de justesse son arrivée et avait caché sa petite sœur là où elle se dissimulait dans ses moments-là, le placard de l'entrée. La tempête paternelle passa ensuite, sombre, agitée, menaçante et douloureuse. Will savait qu'il fallait laisser faire, laisser passer et surtout ne rien dire, sinon son père continuait de plus belle et s'en prenait à sa mère derechef. Et le but, c'était que son père reparte le plus vite possible. Justement, il titubait vers la porte de l'entrée lorsqu'un bruit s'éleva doucement, stupéfiant William sur place, les yeux grands ouverts fixés sur le placard. Un horrible frisson lui parcourut l'échine quand il posa le regard sur son père : lui aussi avait entendu Abigail qui était en train de fredonner une comptine que Will lui avait apprise. C'était une catastrophe. Dans une brouillard épais, William vit vaguement son père ouvrir la porte du placard de l'entrée et y découvrir sa fille qu'il avait oubliée jusqu'ici. Et de lui hurler qu'elle était une garce de se cacher quand son père venait la voir, une catin pour le narguer en chantant de la sorte, et autres obscénités.
Leur père fit alors une chose qui allait provoquer le fameux déclic chez William : il s'apprêtait à lever la main sur Abigail. Le jeune garçon vit rouge et sans réfléchir, il s'interposa entre sa petite sœur et l'homme qui lui faisait face, le repoussant violemment, de toutes ses forces de jeune garçons qu'il était encore. Heureusement l'alcool aidant, leur paternel tomba à la renverse, sa tête cognant contre le mur. Will avait beau n'avoir que 10 ans, il était déjà forgé par les épreuves de la vie et le fait qu'il traînait sans arrêt dehors avec d'autres garçons de la rue, pas vraiment fréquentables. Ils en venaient souvent aux mains, entre petites bandes adverses. William avait développé un aspect physique nerveux, ses petits muscles tendus apparaissant légèrement sur son corps maigre. Bien sûr contre son père, il ne faisait pas le poids : mais celui-ci, en cet instant même, était rouillé par l'alcool. Le faire tomber ne fut donc pas si difficile. Sonné, celui-ci ne put répliquer tout de suite. En revanche et contre toute attente, la gifle que Will reçut alors vint de sa mère. Elle se faisait battre par son mari, mais le défendait toujours bec et ongles, dans tous les cas. Même contre ses propres enfants, qu'elle ne protégeait guère que faiblement, en chassant son mari de la maison familiale la plupart du temps. C'est donc sans rien dire ni rien faire qu'elle laissa William prendre la raclée de sa vie lorsque son père se fut un peu remit ; l'important pour le petit garçon, c'est qu'il laissa Abigail tranquille. C'était tout ce qu'il lui importait.
Du temps avait coulé sous les ponts depuis la première année de William à Poudlard. Abigail ayant elle aussi intégré l'école, il s'était senti profondément rassuré, et quelque part, avait eu l'impression d'être chez lui plus que jamais. Après tout, Abi constituant sa seule famille et ne s'étant jamais particulièrement attaché à la maison de son enfance, William ne pouvait qu'être aux anges. Il se sentait bien chez les Gryffondors, parmi lesquels il s'était fait une place petit à petit, et avait trouvé un vrai frère en la personne de Daniel. Il avait d'autres amis aussi, surtout parmi l'équipe de Quidditch des Gryffondors, dont il était un membre acharné, passionné, et plutôt doué. Même auprès des filles, il avait une certaine cote : rien à voir avec la popularité de Daniel bien sûr, son ami appréciant un peu plus de jouer avec ce côté "people", Will préférant bien souvent battre en retraite et rester dans son coin. Mais ça lui avait permis de rencontrer beaucoup de filles, de sortir avec quelques unes, d'avoir une ou deux histoires importantes, qui avaient bouleversé sa vie.
| Souvenir de Poudlard
Spoiler:
"June ! Pssst ! Par ici !"
Ce n'avait été qu'un murmure, mais suffisant pour que la jeune fille entende William et se faufile jusqu'à lui dans l'obscurité des couloirs de Poudlard. C'était la nuit, c'était bien après le couvre-feu. Et c'était comme ça que William et June se rencontraient régulièrement. En cachette de tout le monde, sauf une pincée de personnes, qui pour William se résumait à deux : Daniel et Abigail. Et encore, même s'ils étaient les deux seuls en qui Will ait le plus confiance, son meilleur ami et sa sœur n'en savaient que peu au final. Il étaient juste au courant qu'il sortait avec une fille, ils savaient qui c'était, que Will et elle ne voulaient pas que ça se sache. Mais contrairement à d'habitude, William restait peu bavard sur elle et refusait de trop en dire, même si Dan le pressait de questions. Il ne voulait partager avec personne ces moments extraordinaires qu'il passait avec la jeune fille. Il ne voulait pas dire tout de suite qu'il l'aimait plus qu'il n'avait jamais aimé aucune autre fille. Il avait peur que s'il l'avoue à haute voix à quelqu'un d'autre qu'à elle, ce bonheur relatif ne s'enfuie.
Pourtant ce n'était pas pour ces raisons que Will et June se cachaient pour se voir. Ce n'était pas parce qu'il voulait la garder jalousement pour lui tout seul. C'était à cause des autres. Elle était à Serpentard, lui à Gryffondor. Deux maisons diamétralement opposées qui se faisaient la guerre, perpétuellement. Deux groupes d'élèves qui se détestaient, souvent sans aucune raison vraiment valable, si ce n'était la force de l'habitude. William se demandait souvent pourquoi il avait atterrit dans la maison des rouges. Non pas qu'il s'y sentait mal ; mais il ne partageait pas forcément toutes les basses considérations que tous ses camarades semblaient ressentir pour les verts. Il avait lié plusieurs relations d'amitié même avec certains Serpentards, principalement lors de sa première année, et il s'entendait bien avec eux. Et les Gyrffondors voyaient déjà d'un très mauvais œil ses liens avec ceux qu'ils considéraient comme leurs ennemis, même si la plupart des relations que Will avaient tissé en première année s'étaient évaporées. Même avec Dan, son meilleur ami, William évitait d'en parler. Il avait beau adorer le jeune homme, mais il savait qu'il était un vrai Gryffondor dans l'âme et que ça le mettait mal à l'aise de voir son ami apprécier des garçons de Serpentard.
Alors si jamais quelqu'un venait à apprendre qu'une verte et un rouge étaient tombés amoureux...
C'est pour ça que Will et June ne se voyaient qu'en cachette. Seulement le soir après le couvre-feu. Seulement dans des endroits déserts, où ils étaient sûrs que personne ne les trouverait. Et quand ils se croisaient à la Grande Salle, ou dans les couloirs, ou dans le parc, ils faisaient semblant de ne pas se connaître. C'était une vraie torture. Un véritable supplice. Et cette haine entre maisons avait fini par les séparer.
Elle ne s'appelait même pas June. C'était son deuxième prénom, mais William préférait l'appeler comme ça. Ça lui permettait en plus de parler d'elle à Dan ou à Abi devant tout le monde sans que personne ne sache de qui il s'agissait. Il en avait été vraiment amoureux, de cette fille. Un amour douloureux, non seulement parce qu'ils devaient se cacher, mais aussi parce qu'ils avaient tous les deux un caractère très fort. Ca avait donné une vraie relation passionnelle. Et une telle relation n'avait pas pu être dissimulée bien longtemps. Ca avait été une première grande étape dans leur couple : ils n'en pouvaient plus de se taire, ils n'en pouvaient plus de faire semblant et ça se ressentait sur leur relation, qui commençait à battre de l'aile. William ne voulait pas la perdre mais il sentait que la situation allait les engloutir tous les deux. Alors ils avaient fini par sortir ensemble sous les yeux de tous. Et au bout de plusieurs mois, il avait enfin avoué à Dan les sentiments forts qu'il avait pour June.
Ils avaient du subir les regards noirs et les moqueries, les rejets aussi, le silence pesant de leurs maisons respectives. Mais au début ils s'en fichaient tous les deux. Leur couple allait mieux, ils se sentaient mieux, ils pouvaient vivre leur amour comme ils l'entendaient, quand ils voulaient. Seulement avec le temps, c'était devenu très pesant. Leur lien avait beau être fort, le rejet perpétuel, voire la violence parfois étaient des épreuves lourdes à supporter. Le clou fut enfoncé lorsque June se retrouva à l'infirmerie à cause d'une méchante farce qui lui était clairement destinée. William avait retrouvé un papier représentant un dessin grossier d'un serpent et d'un lion percés par une épée magique sur le lieu de "l'accident", représentatif des traîtres qu'ils étaient tous les deux en s'aimant. Malgré sa colère noire, malgré les menaces et la rage qui s'étaient alors emparé de lui, il ne sut jamais qui avait été l'auteur ou les auteurs de cet acte qui avait blessé June. Mais qui que ce soit, ils avaient réussi : la jeune fille n'en pouvait plus de cette situation, ni ne voulait plus risquer de subir à nouveau ce genre de farce. Elle avait dit à William qu'elle ne l'aimait pas suffisamment pour continuer à affronter ça... Il savait qu'elle mentait, ou du moins il voulait le croire de toutes ses forces. Mais toujours est-il que ça ne changeait rien : ils se séparèrent.
William la croise encore de temps à autre dans les couloirs, ou bien l'aperçoit souvent lors des repas. Si au début il en avait souffert longtemps, le temps avait fait son travail et il pouvait maintenant lui parler en toute sérénité ou presque. Il éprouvait encore pour elle une affection toute particulière, mais reste encore blessé par les épreuves qu'ils avaient subi et par l'abandon de la jeune fille.
Et puis, il y avait eu Emma. Qui avait changé le petit monde de Will en quelques mois, en quelques rencontres, voire en une seule fois. Bien qu'appartenant à la même école, ils ne s'étaient encore jamais parlé auparavant. Et dès qu'ils le firent, William se sentit inexplicablement attiré par la jeune fille, si différente des autres, si étrange et mystérieuse. Elle lui avoua pour sa maladie, et instantanément Will ressentit le besoin de prendre soin d'elle. Comme si c'était écrit. Il repensa à elle le soir de leur première rencontre, alors qu'il n'en savait pas beaucoup sur elle. Il fut plus heureux qu'il n'était nécessaire quand elle vont le voir après son entraînement de Quidditch. Et heureux aussi de trouver un prétexte - son piètre niveau en cours - pour la revoir régulièrement. Inévitablement, il se rendit compte qu'il tombait amoureux d'elle ; mais hors de question de lui avouer, car ce n'était manifestement pas réciproque, elle lui fit bien comprendre. Du moins, c'est ce qu'il croyait. Après bien des embûches, des intrigues, du jeu du chat et la souris, ce fut Emma qui finit par tout avouer à William, par lui dire qu'elle l'aimait mais qu'elle savait que rien ne serait possible entre eux parce qu'elle pensait qu'Abigail était la petite amie de Will... Toutes ses épreuves, juste fondées sur un malentendu qui aurait pu être très facilement évité. Il aurait juste fallu d'une phrase, dite par n'importe qui un jour, et Emma aurait su. Il aurait juste fallu que Will se confie un peu plus. Il aurait aussi fallu qu'il ne veuille pas trop garder Emma secrète et qu'il la présente à ceux qui comptaient le plus dans sa vie, et ça aurait été tellement plus facile... Mais l'important maintenant, c'est que la jeune Serdaigle et lui sont enfin ensemble. Et William est heureux, tout simplement. Quelques embûches sont encore sur son chemin et il doit régler quelques soucis ; certains ne pourront pas être traités et classés aussi facilement que d'autres, mais maintenant qu'il a Emma à ses côtés, tout lui semble tellement simple...
WHAT YOU DO
I'VE GOT THE POWER
William est très loin de savoir et de connaître les pouvoirs qu'il a en lui. Il n'en a même pas la moindre idée. Lui qui est un élève si médiocre, jamais il ne croirait personne si on lui disait que par un miracle inconnu, il était un élémentaliste qui pouvait utiliser les cinq éléments s'il le voulait. Pour le moment, c'est le feu qui se manifeste, l'élément réputé pour apparaître le plus aisément puisqu'il est influencé par les sentiments forts, passionnels et ardents... Sentiments que l'être humain ressent souvent. Avec un tempérament comme celui de William, qui même s'il a besoin de calme et de tranquillité, a besoin aussi d'exprimer toute sa puissance parfois, le feu n'a pas eu de mal à montrer le bout de son nez. Cependant, ça n'est pas pour autant qu'il est facile à maîtriser. Will devra apprendre à se contrôler dans un premier temps, car il suffira d'une contrariété soudaine et il pourra mettre le feu sans le vouloir à un objet autour de lui, de préférence les meubles en bois ou les rideaux épais. Une fois qu'il sera capable de contrôler un peu plus cet élément, il pourra faire l'inverse et se servir de ses émotions pour jouer sur l'intensité du feu. Il débutera en apprenant à enflammer une allumette, une bougie, puis un bout de bois, et ainsi de suite. A terme, il pourra mettre le feu à de plus gros objets et faire apparaître de plus gros incendies, ainsi qu'à les éteindre, épreuve ô combien difficile puisqu'elle demande une maîtrise de soi très importante. Plus tard, William découvrira qu'il maîtrise également un autre élément, puis un autre, puis encore un autre...
IT'S JUST ME
I'M A NORMAL PERSON
• Prénom / Surnom : Will • Par quel biais as-tu connu le forum ? Bouche à oreille Publicité Moteur de recherche Autre • Comment tu le trouves ? • Fréquence d’activité : Indéterminée • Double compte sur le forum : Non Oui • Code du règlement :
Spoiler:
VALIDE PAR L'INFIRMIER ANONYME.
Dernière édition par William Green le Lun 11 Juil - 2:30, édité 1 fois
William Green
Date d'inscription : 16/01/2011 Messages : 286 Age : 37 Crédit avatar : birdie Emploi/Etudes : 6ème année, Gryffondor Pouvoir : Elémentaliste
Rapeltout Age: 17 ans Sans eux je ne suis rien: Je suis: un gentil Arthurien
Sujet: Re: William Green Lun 11 Juil - 2:24
Auto-validation, gooooooooo !
Edit : Ah, bon ben manifestement j'peux pas ranger moi-même la fiche (problèmes de droits ?), donc si quelqu'un pouvait le faire pour moi, s'vé'plé Et puis me dire aussi si y'a des choses pas bien, on sait jamais, j'ai fait des modifs un peu partout ^^
Edit 2 : J'ai rien dit, j'ai trouvé xD Mais vous pouvez m'dire quand même si quelque chose cloche, hein
Rapeltout Age: Sans eux je ne suis rien: Je suis: un Mordredien neutre
Sujet: Re: William Green Lun 11 Juil - 4:04
C'est parfait petit homme ! Quant aux grands pouvoir de la validation... c'est moi qui les ai officiellement maintenant *mwahahaha* Retourne donc à tes parrainages Soit le re-bienvenu quand même (pour la forme), avec "touut l'amoul qué yé poul toi hia hia hia !"
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Sujet: Re: William Green
William Green
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